introduction
est-il besoin d’ajouter encore un livre sur l’islam, le qur’ân, le jihâde ou le terrorisme en langue française ? ce n’est point le nombre d’ouvrages qui manque, puisque orientalistes, auteurs occidentaux, arabes ou musulmans n’ont pas manqué de participer à la création d’un amas de textes impressionnant, chacun d’entre eux selon son propre point de vue ou selon l’objectif pour lequel il milite. cependant, on peut définir cette production, dans son ensemble et sans grand risque d’erreur, comme suit : les orientalistes, en général, leur oeuvre allant de paire avec le colonialisme et les missionnaires, s’ingénient à avilir l’islam, quitte à avoir recours à la calomnie sans vergogne et à la falsification pour l’implantation de leurs planifications d’acculturation ; les auteurs occidentaux, dans la grande majorité, ont cédé le pas au fanatisme ecclésial, dans un rythme frénétique, qui va s’accélérant, depuis le début de l’expansion islamique jusqu’à nos jours, car vraiment peu nombreux sont ceux qui usèrent d’impartialité ou de bienveillance ; les auteurs arabes ou musulmans, prenant la contre-offensive, surchargent leurs textes d’émotivité, de détails et de parenthèses. ce qui donna lieu à une récolte qui ne va plus de paire ni avec le peu de temps dont dispose le lecteur de nos jours, qui demeure consterné face à cette immense productivité à laquelle s’ajoute cette autre vague de données, manipulées, qu’imposent les médias, ni avec la réalité des faits, que certains insistent à camoufler. c’est pourquoi ce livre s’impose, vu les événements en cours, depuis le fameux 11 septembre 2001, en général, et depuis vatican ii (1965) en particulier. deux dates auxquelles nous reviendrons plus tard, dans un texte à part, et entre lesquelles s’est jouée la mise à point de la plus grande boucherie que la terre n’a jamais connue ! evénements dont nulle personne n’ignore la cruauté, la partialité ou même l’arrogance de la politique qui la mène, car la victime cette fois-ci n’est pas un groupe ou un pays, mais une confession ! une confession qui comprend plus d’un milliard d’adeptes, dont le seul défaut pour lequel elle est mise à l’index est qu’elle représente et renferme, en fait, les preuves de la plus grande des falsifications commises sur terre, et pour laquelle nous tous, occidentaux ou orientaux, payons la facture !
c’est un ouvrage qui se veut clair, net et précis, se basant sur la vérité pure et simple. vérité escamotée, certes, mais qui ne l’a jamais été comme elle le fut de nos jours. oser écrire cette vérité, que l’on essaye d’abattre depuis des siècles, est déjà un effort sur soi, le prix ou les conséquences sont connus, hélas.. mais oser la lire, se donner la peine de la comprendre, de l’assimiler, pour se débarrasser de tout ce que tant de mauvaises intentions agirent de concert, des siècles durant, pour l’éliminer, représente sûrement un effort gigantesque de la part du lecteur, pour surmonter un obstacle si tenacement imposé. ce n’est donc point une oeuvre de prosélytisme, l’auteur ne s’adresse qu’au simple lecteur qui tient à la probité des connaissances, qui tient à voir clair et à ne pas être poussé, malgré lui, à prendre part dans ce massacre inhumain, imposé par les meneurs du jeu, et qui nous conduit tous, sans exception, dans un abîme sans fond. le livre se compose de deux parties distinctes : la première traite de l’islam et du qur’ân, en deux chapitres, en soulignant définition et apports ; la seconde traite du jihad et du terrorisme en marquant la grande différence qu’il y a entre les deux, car le jihâd n’est point le terrorisme tel qu’il a été défini et imposé ces derniers temps ! ces quatre sujets sont considérés comme base principale pour la connaissance de cette troisième et dernière révélation du monothéisme qu’on essaye d’éliminer, à tout prix, quitte à détruire la terre et l’humanité !! tout ce à quoi aspire l’auteur est de montrer l’islam sous son vrai jour, montrer qu’il est loin de toutes les accusations imputées, surtout de nos jours, en le qualifiant de terroriste créateur de terrorisme, afin que tout être humain, digne de ce nom, et quelle que soit sa confession, puisse participer à l’arrêt de cette macabre boucherie, qui se mène à une allure vertigineuse.