james a. michener disait : « a la mort de muhammad, certains voulurent le déifier, mais son successeur administratif (abou bakr le véridique, ndlr.) mit fin à cette vague d’hystérie par une des paroles les plus belles de l’histoire religieuse : « si l’un d’entre vous adorait muhammad, qu'il sache que muhammad est mort. mais si c’est dieu qu’il adore, alors dieu est vivant et ne meurt pas. » james a. michener, islam : the misunderstood religion, reader’s digest (revue américaine), n de mai 1955, p. 6870.
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